Se sentir exister, à travers la « vie », comme dans un plongeon surréaliste mais intense dans un rêve éveillé.
Plonger au cœur même de notre essence, dans tout ce qui vient, tout ce qui nous traverse, tout ce qui est.
Eternel départ, ici et maintenant, renouvellement de chaque présent, dans le vivant qui nous agit.
Un paysage sans fin défile.
Des montagnes de peurs, aux tourbillons de doutes, à la tristesse infinie, à la rage qui nous ronge, à la colère qui brûle… dans ces bas et dans ces hauts, de ces joies sans raison, à ces fous rires sans fin.
 A l’indéfinissable abîme des questionnements jaillissant, aux incompréhensions, des remises en cause, aux incertitudes …
 Puis tout cela est vu, cela semble alors comme s’évanouir, s’effriter, et s’ouvre alors l’immensité de l’essence que nous sommes, l’infini des possibles.
Derrière ces décors, une douce joie, un regard paisible, sérénité d’Être dans cette complétude qui ne nous a jamais quittés.
Clin d’œil de la Vie, de l’élan unique animant chaque instant du vivant.
Facette singulière cherchant à se rencontrer en s’incarnant sous mille et une formes.
Et de ces éternels défilés d’horizons, infinité de dépouillements, de partages, de renaissances, de reconnaissances, d’histoires, de personnages, de « toi » et de « moi », pour amener toujours à la même évidence… « Eh Vie Danse » ! Celle du jeu de la Vie, se mouvant dans l’Amour de l’Unité !