[Quoi ?]

« 𝘔𝘰𝘯 𝘭𝘢𝘯𝘤𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘢 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘶𝘯 𝘧𝘭𝘰𝘱 » « 𝘫’𝘢𝘪 𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘧𝘢𝘪𝘭𝘭𝘪𝘵𝘦 » « 𝘫’𝘢𝘪 𝘦𝘶 𝘶𝘯 𝘮𝘢𝘶𝘷𝘢𝘪𝘴 𝘳𝘦́𝘴𝘶𝘭𝘵𝘢𝘵 𝘢̀ 𝘶𝘯 𝘦𝘹𝘢𝘮𝘦𝘯 »

Nous avons toutes et tous été confrontés à l’échec, enfant, adulte.

Il est même « naturel » d’échouer car c’est comme cela que nous apprenons.

En effet, comment avons nous appris à marcher? En tombant plus de 2000fois! Et pourtant, nous avons persisté.

Et on ne l’a pas vécu comme un échec mais plus comme un moyen d’apprendre.

« L’échec » dans notre société n’est pas du tout valorisé, c’est même « la honte », pourtant c’est une grande source d’apprentissage.

Cette culture de l’échec est pourtant beaucoup développée aux USA.

Là bas, un investisseur prêtera plus facile de l’argent si la personne a déjà fait faillite : et oui, nous avons acquis de l’expérience et connaissons les erreurs à éviter.

Je n’aime pas le mot « échec »

Je n’aime pas le mot « échec » car je trouve qu’il a une connotation négative alors qu’𝐢𝐥 𝐲 𝐚 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐛𝐞𝐚𝐮𝐭𝐞́ 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐜𝐬.

C’est essentiel.

Découvrir le Monde, c’est se planter !

Comment Christophe Colomb a découvert l’Amérique ? En se plantant car il pensait que c’étaient les Indes (pas de GPS à l’époque).

𝐀𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐫𝐫𝐞𝐮𝐫𝐬, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐥𝐨𝐮𝐩𝐞́𝐬.

Le nombre de lancements qui n’ont pas fonctionné en 8 ans… ? Beaucoup.

Je ne dis pas que je saute de joie dès que j’ai un échec mais cela me permet d’ajuster, de voir ce qui est en résistance chez moi, mes blocages ou de voir si j’avais les bons outils.

C’est ce que je fais aussi quand j’accompagne les entrepreneuses, on va voir ce qui se passe quand ça coince, ou que ça semble « échouer ».

𝐂𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭𝐮𝐧𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐫.

C’est un potentiel énorme que l’on développe, car on devient plus créatif, résilient, conscient, et avec beaucoup d’expériences.

Alors l’invitation c’est d’oser y aller même si on se plante, car c’est toute une manière d’apprendre, de grandir et de se confronter à ce que l’on veut créer.

Les entrepreneurs qui réussissent sont ceux qui ont appris à transformer les échecs en opportunité, comme Steve Jobs quand il s’est fait licencier de son entreprise Apple.

𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐞𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐨𝐢 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐧𝐨𝐬 « 𝐞́𝐜𝐡𝐞𝐜𝐬 ».

Et toi ?

Tu as eu des échecs ?

Mathilde